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La perte des cheveux chez l'homme

L'essentiel à retenir

La perte de cheveux fait partie du cycle normal, mais devient préoccupante lorsque trop de follicules passent en phase de chute, entraînant un effluvium télogène. Plusieurs facteurs peuvent accentuer ce phénomène.

1. Génétique et hormones

La calvitie masculine est surtout liée à la sensibilité à la DHT, une hormone qui miniaturise les follicules. Les tempes et le sommet du crâne sont les zones les plus touchées.

2. Environnement et hygiène de vie

Pollution, UV, chaleur, tabac ou soins trop agressifs fragilisent la fibre et perturbent le cuir chevelu. Stress, carences nutritionnelles ou régimes répétés peuvent aussi provoquer une chute soudaine.

3. Vieillissement

Avec l’âge, les cycles de croissance se raccourcissent : cheveux plus fins, plus fragiles, densité en baisse.

4. Symptômes à surveiller

Perte de densité, cheveux plus fins, chute accrue, cuir chevelu plus visible ou irrité.

5. Prévention et solutions

Diagnostic dermatologique, gestes doux, soins adaptés et compléments capillaires (dont collagène marin). En cas de chute persistante : mésothérapie, LED, laser ou microgreffe.

Qu'est-ce que la perte de cheveux ?

La perte de cheveux fait naturellement partie du cycle capillaire. Chaque follicule pileux traverse trois phases : la phase anagène (croissance), la phase catagène (transition), puis la phase télogène, qui se termine par la chute des cheveux.

Ce phénomène devient préoccupant lorsque trop de cheveux basculent simultanément en phase télogène, entraînant un effluvium télogène, ou lorsque la chute de cheveux se prolonge au-delà de plusieurs mois.

Pour préserver la densité et la vitalité capillaire, il est essentiel d’associer des soins adaptés, des gestes capillaires doux et un soutien interne via des compléments capillaires ou des cures de collagène marin, qui renforcent la structure du follicule pileux et contribuent à un cycle de vie des cheveux plus équilibré.

Le rôle de la génétique dans la calvitie masculine

La calvitie masculine, ou alopécie androgénétique, est fortement liée à des facteurs génétiques.

Certains hommes présentent une sensibilité accrue à la DHT, une hormone dérivée de la testostérone qui provoque la miniaturisation progressive des follicules pileux. Avec le temps, la fibre s’affine, la croissance ralentit et les zones les plus sensibles deviennent clairsemées (tempes, sommet du crâne).


L’influence des conditions environnementales

Le cuir chevelu est exposé en permanence aux agressions extérieures : pollution, rayons UV, tabac, chaleur des appareils coiffants, produits capillaires trop décapants… Ces facteurs fragilisent la fibre, perturbent l’équilibre du cuir chevelu et peuvent accentuer la chute.

Les pellicules grasses, certaines irritations ou un déséquilibre du pH du cuir chevelu peuvent également altérer le cycle pilaire.

Le rôle du stress et de l’alimentation

Un stress intense, un choc émotionnel, des régimes à répétition, une fatigue prolongée ou une carence en nutriments (vitamines B, zinc, acides aminés essentiels…) peuvent déclencher un effluvium télogène.

Dans ces situations, l’organisme met temporairement en pause les fonctions non vitales, dont la croissance des cheveux, ce qui entraîne une chute de cheveux souvent impressionnante.

Un soutien interne via des compléments capillaires et des cures de collagène marin, aide à renforcer la structure des follicules pileux, soutenir la repousse et améliorer la densité capillaire, tout en favorisant un cuir chevelu plus équilibré.

Le vieillissement

Avec l’âge, le cycle capillaire ralentit : la phase anagène se raccourcit, les follicules pileux perdent en vitalité et la fibre devient plus fine et plus fragile.

Ce phénomène contribue à la calvitie masculine, en particulier lorsque s’ajoutent la fatigue, les variations hormonales (comme celles liées aux hormones thyroïdiennes) ou certains traitements médicamenteux.

Les cheveux tombent plus facilement, perdent en résistance et deviennent plus sensibles aux agressions extérieures.

Les symptômes de la chute de cheveux et comment les reconnaître

Reconnaître rapidement les signes d’une chute de cheveux permet d’agir efficacement. Les symptômes les plus fréquents sont :

– une densité qui diminue au niveau des tempes ou du sommet du crâne,
– des cheveux plus nombreux sur la brosse, l’oreiller ou sous la douche,
– une fibre qui semble plus fine, plus fragile,
– un cuir chevelu plus visible ou davantage irrité.


Comment prévenir efficacement son apparition ?

Un dermatologue ou une clinique capillaire peut réaliser un diagnostic : examen visuel, scan de densité capillaire, voire une biopsie du cuir chevelu dans certains cas. La prévention repose ensuite sur trois éléments essentiels : des gestes capillaires doux, des soins adaptés, et un soutien interne via des compléments alimentaires ciblés.

Adopter les bons gestes en cas de perte de cheveux passagère

En cas de chute temporaire, plusieurs gestes simples peuvent limiter l’aggravation :

– Utiliser des shampooings spécifiques adaptés à son type de cuir chevelu.
– Éviter les produits capillaires agressifs, les lavages trop fréquents ou l’eau très chaude.
– Réduire le stress grâce à l’activité physique ou à des exercices de respiration.
– Se coiffer les cheveux avec une brosse souple pour limiter les tractions.
– Préserver le cuir chevelu de la chaleur excessive (sèche-cheveux,…).


Ces gestes préservent la fibre et favorisent un environnement plus propice à la repousse.

Suivre une routine de soins et de compléments alimentaires

Une routine complète, alliant soins externes et soutien interne, reste la stratégie la plus efficace.

Les compléments alimentaires contre la chute des cheveux comme la cure Nouvelle Vague, agissent sur plusieurs paramètres : la chute hormonale, la croissance, la fibre et le cuir chevelu.

Ils peuvent être associés à une cure de collagène marin pour renforcer la structure des follicules et améliorer la densité.

Dans les cas plus avancés, certaines options peuvent être proposées : mésothérapie capillaire, LED capillaire, photothérapie laser, ou, en dernier recours, une microgreffe de cheveux.


FAQ

Est-il conseillé de prendre du collagène quotidiennement ?

Oui. Une prise quotidienne est essentielle pour observer des résultats tangibles. Le collagène agit progressivement, et seule une cure régulière permet de stimuler la régénération des tissus. Le corps éliminant l’excédent, une consommation quotidienne dans la fourchette de 5 à 10 g/jour est parfaitement sûre. Certaines personnes choisissent même une supplémentation à l’année, notamment pour le soutien articulaire ou la prévention après 40 ans.

Quel est le collagène le plus efficace ?

Le collagène de type I est le plus abondant dans le corps humain (près de 90 % du collagène total). Il est essentiel pour la peau, les os et les tendons. Le collagène marin hydrolysé, riche en peptides de type I et à faible poids moléculaire, est particulièrement apprécié pour sa biodisponibilité élevée et son efficacité prouvée sur l’élasticité cutanée et la densité osseuse.

Est-il sûr de consommer 10g de collagène par jour ?

Oui, 10 g/jour est une dose parfaitement adaptée et sécuritaire. C’est même le dosage le plus complet pour soutenir la peau, les os et les articulations. Les études cliniques confirment la bonne tolérance du collagène à ces niveaux d’apport. Aller au-delà n’apporte pas nécessairement plus de bénéfices et peut causer un inconfort digestif.

Quelle est la durée optimale d'une cure de collagène ?

Pour la peau, il faut compter 4 à 8 semaines de supplémentation régulière avant d’observer une amélioration de l’hydratation et de l’élasticité cutanée. Pour les articulations et les os, les résultats apparaissent plus progressivement, sur 6 à 12 mois, en raison de la lenteur de régénération des tissus conjonctifs. Une cure continue ou renouvelée plusieurs fois par an est recommandée pour maintenir les effets dans le temps.

Quand commence-t-on à ressentir les effets du collagène ?

Les premiers résultats visibles sur la peau (hydratation, éclat, souplesse) apparaissent généralement dès 4 semaines, avec des effets renforcés à 8 semaines. Pour les tissus plus profonds (os, tendons, cartilages), il faut patienter entre 3 et 12 mois pour constater des changements mesurables.

À qui est déconseillé le collagène ?

Le collagène marin est bien toléré par la grande majorité des personnes. Par précaution, il est recommandé de consulter un professionnel de santé en cas de :

-grossesse ou allaitement,
-insuffisance rénale ou troubles métaboliques particuliers,
-allergie aux protéines animales (poisson notamment).

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